Après deux infructueux appels et une standardiste tout juste aimable qui vous raccroche au nez, j’ai pu expérimenter à pieds et par 37 degrés en ce 18 juin , avec trois petit enfants, 40 minutes de marche un peu rude. Encore merci à cette brillante entreprise pour la non prestation et même pas un appel.
Je fais appel a un taxi, pas un conducteur Uber. J'attend que le taxi connaisse les lieux, pas qu'il se fie bêtement à un GPS qui peut être mal réglé. Un aéroport n'est pas le plus compliqué à connaitre, surtout celui de Genève. Je peux comprendre que le chauffeur débute, mais le patron doit s'assurer que son chauffeur est en mesure d'assurer la course correctement. Au final on a guider le taxi pour arriver à bon port.